Il reste des places
Cet été, le mémorial des martyrs de la Déportation vous propose un atelier jeunesse inédit pour comprendre et s’imprégner de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale dans sa complexité.
Organisé dans le cadre du cycle culturel « Répression, persécution et internement des Nomades en France pendant la Seconde Guerre mondiale », l’atelier « Être enfant Tsigane sous le IIIe Reich » traite, sur base de la bande dessinée, des conditions de vie, des difficultés et des préjugés dont furent victimes les Tsiganes.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, de nombreux enfants tsiganes sont internés avec leurs parents dans des camps d’internement français et camps de concentration du IIIe Reich.
Victimes de la politique raciale nazie, ces familles ont subi persécutions et discriminations.
Cet atelier propose de revenir sur cette histoire à travers la bande-dessinée. Après avoir approché le langage de ce neuvième art, les apprentis-dessinateurs étudieront les discours sur l’internement et la déportation des Tsiganes et déconstruiront les préjugés dont ils furent victimes. Par le dessin et en s’appuyant sur des ouvrages dessinés mis à disposition, ils sont invités à imaginer le destin de ces enfants disparus.
Érigé au cœur de Paris et inauguré en 1962, le mémorial des martyrs de la Déportation est dédié à l'ensemble des déportés de France.
Dans le cadre du cycle culturel « Répression, persécution et internement des Nomades en France pendant la Seconde Guerre mondiale »
En partenariat avec la mairie de Paris et le mémorial de la Shoah
Atelier de préférence réservé aux jeunes de moins de 15 ans.
IMPORTANT
Conformément aux dispositions légales en vigueur, à compter du mercredi 21 juillet (30 août pour les 12 à 17 ans), un pass sanitaire sera à présenter obligatoirement à l’entrée du mémorial du Mont-Valérien et du mémorial des martyrs de la Déportation.
Très intéressant
Atelier très pédagogique qui a permis à la fille et moi d'apprendre beaucoup de choses sur cette période terrible de la seconde guerre mondiale et plus particulièrement sur le sort des tziganes mais également sur tous les déportés, de plus j'ai découvert ce mémorial que je ne connaissais pas alors que j'ai vécu un an dans le quartier